| L’entraineur ski alpin n°80
| Décembre 2011
Extrait « …Nous n’avons pas conscience du niveau »d’usure » de nos articulations et de la vitesse à laquelle on les altère. Ce n’est qu’à partir d’un certain degré d’altération que l’information devient consciente, vous signalant que l’utilisation de l’articulation concernée doit être limitée. Seulement à partir de ce moment là, l’atteinte structurelle est irrémédiable. En l’état actuel de la médecine il n’y a pas de retour en arrière possible et elle propose seulement des palliatifs allant de l’injection de gel à la pose de prothèse. Comme je le dis souvent la douleur est un référentiel en retard sur l’état réel du corps, une alarme tardive d’où l’importance de transmettre au sportif des observables lui permettant une meilleure utilisation de son corps dans la pratique sportive. D’autre part lorsque les symptômes apparaissent à distance de l’activité 1, 2, 3, 5 ou 10 ans après il devient difficile de faire le lien entre les douleurs présentes et l’activité passée. D’où le risque de redondance des entraînements s’il n’y a pas de réflexion faisant le lien entre la pathologie et les entraînements subit, les entraîneurs reproduisant stricto sensu ce qu’ils ont vécu…
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